De ses lèvres
S’exhale un parfum de rose,
Quand je baise ma belle ;
Elles ressemblent
À deux pétales de fleurs,
Tendres sur la rosée, roses sous le soleil naissant :
Leur arôme pénètre jusque dans ma gorge
Et la joie jusqu’au fond de mon cœur.
Wang Yé-ngan
(date inconnue, piquée dans « Anthologie de la littérature chinoise », Delagrave, 1933
