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Le vent de ton souffle balaye le mystère de mes sens
Sans interdit qu’un cri plus fort
Fabrique une liberté sans souffrance.
Tu me dis qu’au ciel l’altitude nous convient, je veux,
Qui contemple corps et âmes emmêlés des sens du vouloir arraché aux dieux.
La fragrance de la peau de ton cou
Sur lequel remontent mes lèvres brûlantes
Essaime jusqu’aux étoiles une poussière infinie de désirs.
Et tu me dis qu’au ciel l’altitude nous convient, je veux,
Qui contemple corps et âmes emmêlés des sens du vouloir arraché aux dieux.
Il fallait que nous hurlions avant de mourir
Et que la mort nous prenne mieux au milieu d’une jouissance
Torturante plutôt que dans l’apathie d’un bonheur plat.
Tu me dis qu’au ciel l’altitude nous convient, je veux,
Qui contemple corps et âmes emmêlés des sens du vouloir arraché aux dieux.
Boire, fumer, faire l’amour en tout temps est notre lot
Diabolique, toi, d’âmes luxuriantes agitées de nos corps tendus
D’insatiétés renouvelées au destin de se mêler dans le grand festin des sens.
Et tu me dis qu’au ciel l’altitude nous convient, je veux,
Qui contemple corps et âmes emmêlés des sens du vouloir arraché aux dieux.
Sens refrinés. C’est le pacte oublié du divin saltimbanque ;
Un souffle de volcans.